lundi 31 janvier 2011

partition


Le thème de ma première oeuvre statique que je devais réalisé pour le cours était : flou. J'ai longuement réfléchit et j'ai fini par faire une photographie. J'ai tout d'abord prit une photo d'une personne qui joue de la guitare. Ultérieurement, j'ai transféré cette numérisation sur une toile pour pouvoir la peindre de ligne noir verticale. Et enfin, le montage Photoshop était la dernière étape pour le projet. Les lignes blanches ont été rajouter pour améliorer l'estétique et aussi pour accentuer la présence de la personne. Même si le thème était flou, je ne voulais pas qu'on perd totalement l'image. En gros,la définition de ce mots veut dire que ça doit être imprécis, un manque de netteté. Je voulais rester neutre dans mes couleurs même si l'utilisation de couleur aurait pu être utilisé.

Zoom sur le flou


L'évolution du mot flou, lors de mon questionnement, a évolué du côté de microscopique pour finalement aboutir au côté l’infiniment petit. Tout ce qui est retrouvé à l'état naturel et qui cause du flou à nos yeux (eau, nuage, brume, évaporation, etc.) est principalement constitué d'eau (H2O). Donc ici est représenté des centaines de molécules d'eau fait en 3D étant donné l'impossibilité d'en prendre une photo. Elles arborent tous les couleurs bleu, pour l’hydrogène, et rouge, pour l’oxygène, qui sont les couleurs les plus utilisés pour représenté ces deux molécules.


Flux

Pour ce travail, ayant comme thème flou, j'ai pris en photo un individu face à une route en milieu urbain. Le triptyque propose une gradation d'opacité. Le Flou dans ce projet est traité par rapport à la perception d'un individu (idées floues, vision floue). Le personnage apparait devant un flux continu (la circulation urbaine). Pour obtenir cet effet, j'ai diminué la vitesse d'obturation à 15 sec afin d'obtenir un maximum de luminosité et de capturer des traces des automobiles qui passaient. Mon concept repose sur la perception face au flux de la vie.

Flou

Entendre le mot Flou m'a portée à réfléchir sur le fait que l'on a souvent dans notre vie des moments où l'on aperçoit notre silhouette ou un certain paysage déformé. Dans ma paume de douche, comme l'image à gauche, est un bon exemple, et il y a d'autres objets aussi qui déforment une image. Je trouvais intéressant le résultat que ça donnait, et le fait de voir la personne qui prend la photo est intéressant car nous apercevons le créateur de l'oeuvre dans l'oeuvre mais pas dans son état normal mais bien déformé, flou, comme le reste du décor. L'image réflétée dans cette paume de douche reste perceptible, mais fatiguante pour l'oeil. Ce n'est pas ce que l'on a l'habitude de percevoir dans une photo. Habituellement, la photo doit être le plus clair possible, le plus droit possible.

Du feu à la glace!



Du feu à la glace! Le nom le dit, pour mon projet, j'ai cherché à travailler deux éléments aillant un grand potentiel de transformation de l'environnement, l'un rapide, l'autre lent. Pour moi il était claire que ce qui laissait une trace réelle et visible ne pouvait être provoqué que par le feu ou la glace. D'abord le feu qui en brûlant, laisse des marque, de la cendre et la désolation sur son passe. Ensuite, la glace qui par l'usure parvient à laisser des marques visibles et permanente sur le sol, les arbres et même les pierres. Donc dans cette perspective, j'ai cherché une façon de les faire interagir ensemble. J'ai donc cherché un matériaux sensible aux deux éléments à la fois. Mon choix c'est fixé sur la cire, malléable et rigide à la fois son état ne dépend que de la température, bref un matériaux parfait! J'ai donc allumé une bougie et j'ai fait en sorte que la cire une fois fondu tombe sur la neige, la faisant ainsi durcir à nouveau mais dans une toute autre forme que la précédente.

Je floute ma vie


Dans le cadre du cour télé-pojet, le thème donné était une image statique avec la contrainte : le flou. Comme médium j’ai utilisé la photo et comme supplément Photoshop, je trouvais cela approprié pour ce projet. Je me suis servi du mot flou pour son verbe « flouter » ceci veux dire rendre une photo ou une image flou. Le concept de la photo exprime le non sens d’une vie, comme si on ne savait pas quoi faire alors notre vie est flou et sans but fixe. Mais nous avons toujours le choix d’être en intensité moindre ou forte, ceci dépend de nous.



Vestige


Le thème Trace évoque chez moi le désir d'identité de l'être humain. Un besoin de laisser derrière nous des vestiges de ce que nous avons été. Je suis donc allé dans ce sens et j’ai choisis de le traiter d’un angle plus psychologique. Dans une esthétique comparable au Test de Rorschach, c’est-à-dire, des tâches d’encres pouvant être interprété par le regardeur, je laisse au public soin de s’imaginer ce qu’ils veulent bien voir du vestige que je leur laisse. J’ai décidée de faire un triptyque, car je ressentais qu’un seul n’aurait pas laissé la place nécessaire à pratiquer l’exercice. Il en va aussi que le regardeur laisse sa trace, mentalement parlant, car la perception qu’il aura de l’œuvre vient de lui-même, donc il l’a crée.


Pour plus d’information ou exemple du test de Rorschach :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Test_de_Rorschach



If it's not ok, it's not the end.


Je me suis longuement questionnée sur la manière d'aborder le sujet «Traces». Puis, il m'est soudain venu cette idée de «traces de mascara» lors d'une séance de démaquillage. J'ai alors décidée de représenter le sujet par une longue coulisse de mascara que l'on peut souvent remarquer sur le visage d'une fille qui est en train de pleurer. Nous vivons tous des épreuves dans la vie que nous interprétons chacun d’une manière différente et qui, ainsi, nous laisse tous des traces. J’ai aussi ajoutée du texte sur les paupières pour ajouter du contenue et une certaine poésie. Cela explique que même si nous croyons souvent que les moments difficiles ne s’arrangeront jamais, il faut garder espoir parce que toutes les fins devraient être belles. On dit souvent que la femme est beaucoup plus émotive et fragile que l’homme. C’est pour cette raison que l'esthétique de ce travail a été basée sur la femme, avec les cils, le maquillage rose et la dentelle, qui est un matériel très fragile.

Patricia

Nébuleux

















Dans le cadre du cours, j'ai du utiliser le sujet "flou". Sous cette contrainte, j'ai décidé de prendre un vieil objectif d'appareil photo, et de le mettre en face de celui de mon appareil photo personnel. Le résultat s'en est avéré concluant, chaque photo prise était flou, et on ne pouvait rien distinguer sur celle-ci.

Le rôle d'un objectif additionnel étant d'améliorer la prise de photo, j'ai trouvé ironique que dans ce cas-ci ce soit le contraire.

dimanche 30 janvier 2011

Flou



La première idée qu'il m'est venue en tête lorsque j'ai pensé à «flou» a été une flamme : on la voit rarement détaillée, mais souvent flou et en mouvement, c'est pourquoi j'ai décidé de travailler avec cette première idée. La seconde a été les sortes de flou. Je me suis donc renseigné sur les sortes de flou qu'il y a dans photoshop et j'ai travaillé avec ces deux idées. J'ai appliquer trois sortes de flou aux photos : flou de forme, flou de surface et flou directionnel en plus de la photo originale, ce qui donne un flou renforcé à la flamme.


Par Kim Lavoie-Dufour
Groupe 2, #13