mardi 2 mars 2010


RISQUE

Sur internet, la définition de risque est : Le fait de s'exposer au danger. J'ai fait plusieurs recherches et eu quelques idées peu développées. Mais, en fin de semaine en allant a l'épicerie, j'ai aperçus sur mon chemin des boites de lave vitre à vendre complètement en dehors du magasin. À la vue de tout le monde et facile à volé. Cette marchandise est laissée jour et nuit, dehors, sans surveillance à la porté de main de tout le monde. J'y suis retourné le lendemain de la prose de photo et il n'y en avait plus, il ne restait que des boites vide. Bref, même si ce n'est pas un produit qui vaut très chère et qui n'occasionne pas de grosse perte d'argent, l'épicerie s'expose quand même au risque de perdre un certain nombre d'argent en mettant sa marchandise à l'extérieur de la bâtisse.

Vue que je n'avais pas vraiment de bonne prise de vue pour cette photo car, mon espace pour prende la photo était assez restreint, j'ai décidé de l'améliorer sur photoshop, de lui ajouter des traits de crayon et de couper les élément inutile sur la photo.

«Prendre le risque de risquer»

La vie est un risque? À chaque jour, nous sommes constamment confrontés à des situations qui nous poussent à rompre la normalité. Lorsqu’il est temps de tenter quelque chose, le risque n’est jamais trop loin. Il nous transgresse dans une zone d’inconfort, nous faisant réagir à l’imprévu et nous mènent à établir des limites qui nous semblent justes en relation avec les décisions, les gestes, que nous commettons. Dans l’art, le risque est une chose connue. Combien d’artistes ont tentés, risqués, le tout pour le tout pour faire valoir leur art? Combien de mouvements artistiques ce sont créés sous le danger? C’est en risquant que nous interpellions le monde créatif, un monde où il est facile d’explorer sous différents aspects, notre imagination elle-même. Il est facile de prendre exemple sur Marcel Duchamp, lorsqu’il lança le ready made. C’est en risquant cette nouvelle approche qu’il a pu révolutionné la conception académique de l’art. Le risque mène à l’imagination dans un sens où, nourrit par l’incertitude, pousse à créer, sans qu’on puisse savoir si cela est bien ou pas.

À la suite de cette réflexion, j’ai donc décidé de faire appel à mon côté créatif d’une manière purement intuitive. Je ne tente pas d’avancer une nouvelle approche artistique, mais bien d’explorer le risque raisonnablement. Sans me soucier de leur relation entre eux, dans un temps et une situation précise, j’ai filmé ce qui évoquait en moi, un certain processus psychologique créatif. C’est en montant ce vidéo que j’ai pu exploité ma capacité à imaginer et à apporter une solution originale aux problèmes d’adaptation auxquels j’ai été confronté, toujours sous le règne du risque.

Sentimentsa



Le thème rupture n'aurait pas pu ''mieux tomber'' dans l'espace temps point de vue personnel. Étant justement en plein deuil d'une relation amoureuse de deux ans, je n'ai pu penser à autre chose que cet aspect du mot ''rupture'' lorsqu'il m'a été proposé.
Bien que pour certains, utiliser la rupture amoureuse peut paraître cliché, j'ai porté ma recherche sur les sentiments que nous vivons tout au long de la rupture. Pour ma part, ce qui a été le plus difficile, c'est le sentiment de vide qui nous atteint. Après avoir été aussi longtemps en couple avec un personne, on perd en quelque sorte notre identité, on n'est plus une personne à part entière mais bien une personne en couple. Nous sommes l'autre. Privés de cette autre moitié, on se sent alors totalement démunis. C'est pourquoi j'ai pris plusieurs portraits de personnes portant un masque neutre. Ce masque dépourvu de toute émotion faciale exprime le sentiment d'anonymat mentionné plus haut. Je pense que terne et sans vie que dégagent les protagonistes de l'image représente exactement le sentiment vécu par une personne vivant une rupture amoureuse.
Il est à noter que le noir et blanc a été utilisé pour donner un style plus ''dramatique'' à la chose.

procédure de divorce

Pour le thème rupture, j'ai décidé de représenter celui-ci sous le divorce...

celle-ci étant très présente de nos jours, j'ai vu beaucoup de mon entourage vivre cette situation, mes parents en particulier donc, le mot rupture m'inspirais cela...

j'ai opté pour le dessin car j'ai découvert ma passion pour le dessin au même moment où j'ai vécu la séparation de mes parents... d'où le lien entre mon image et ma façon de la représenter sous forme de dessin. J'ai représenté une procédure de divorce avec les alliances brisées pour bien comprendre que ce n'est pas un mariage... j'ai décidé d'y aller pour une plume plutôt qu'un crayon pour l'aspect esthétique..

Réaliser en tinte de jaune pour un peu de couleur et d'effet de temps...

Fait à la main au fusain sur feuille 8.30/11 et par la suite scanner et modifié sur Photoshop.. Des filtres ont été ajoutés, un remplacement de couleur, luminosité/contraste, densité+ et - et d'autre ont été appliqués pour donner le résultat final.






Rupture

Notre espace est important pour chacun, que ce soit notre chambre, une grande maison ou notre jardin secret. L'humain a besoin d'un environnement qui est propre à lui. J'ai donc questionné la notion de l'espace en prenant pour thématique, la rupture de stock. L'effet comique de l'image est lié avec le sarcasme comme si on disait à quelqu'un: Désolé il n'y a plus assez d'air en cm cube pour toi.


Rupture de la mémoire synaptique


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Le thème rupture comporte plusieurs significations. Je voulais, au tout début, explorer la rupture avec soi-même (rupture de la personne psychique et de la personne physique). Mais j’ai plutôt orienté mon projet vers une rupture dans l’état des choses en rapport avec l’humain. Mon projet traite d’une violente perte de mémoire synaptique due à un traumatisme du cerveau. La mémoire synaptique est l’ensemble des informations stockées dans le cerveau par le contact de neurones (synapses). C’est par le cycle d’influx nerveux de ces synapses que l’on mémorise les connaissances, les évènements, les souvenirs et les habiletés motrices. On comprend donc que l’être humain se retrouve disfonctionnel lorsque la mémoire synaptique est touchée.

Dans une première tentative, j’ai tenté d’aborder le sujet d’un point du vue médical et psychologique. Mais j’ai préféré faire un parallèle avec l’informatique.
En informatique, on stocke les données dans le disque dur et il arrive pour différentes raisons qu’un disque dur soit non récupérable (un BAD CRC, par exemple). Dans le vidéo, des commandes informatiques sont faites pour récupérer les données mais en vain, tout comme pour une mémoire humaine disfonctionelle: on peut tenter de se souvenir, mais si le cycle des influx nerveux synaptiques à été endommagé, le retour aux souvenirs est impossible. J’ai utilisé l’esthétique et le sonore des débuts de l’informatique, ainsi que l’esthétique du vieux cinéma pour faire référence à ce qui appartient au passé, tout comme les souvenirs présents dans la mémoire humaine.
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lundi 1 mars 2010

Voyeurisme risqué











Pour mon oeuvre dont j'ai choisis le format, donc statique, j'ai pensé a plein d'actions risquées de la vie. Je me suis arrêté sur un petit concept comique que l'on peut plutôt voir sous forme de blague, qui est la porte piègée. Dans les bandes dessinées ou dans les dessins animés lorsque nous etions petits, on a tous déja vu cette genre de blague ou un pot de peinture ou un seau d'eau était en suspension sur le dessu d'une porte pour pièger quelqu'un. Et bien moi j'ai voulu imité ce genre de blague en l'exagerant pour accentué l'impacte qu'elle aurait si l'action continuait. Je me suis basé sur une action simple qu'est le voyeurisme. En faite, c'est une scène qui ne serait probablement jamais vu réellement.

Est-ce que je vais passer mon cours?

Pour cette semaine, avec le thème risque, j'ai voulu le mettre en pratique et de façon différente. Donc, je m'explique! Pour ce travail hebdomadaire, j'ai décidé de prendre le risque de rien remettre et par le fait même de ne pas être sûr d'avoir une bonne note. Par cette action, l'œuvre finale est la note octroyée par M. Boulanger. Cette œuvre remet en question le processus de création, se que nous avons vue dans un autre cour, et cela critique grandement qu'est qu'une œuvre.

Mauvaise traduction



























Pour ce projet mon thème était: risque. Après bonne réflexion et plusieurs idées ne menant à rien j'ai décidé d'utiliser les signes de risques de feu et d'explosions que l'on retrouve sur les produits sous pression. J'ai voulu apposer ces signes sur un contenant que l'on consomme, j'ai alors trouvé ce contenant de poivre noir. Ce contenant m'a tout suite fait penser à modifier les mots «black pepper» pour «black powder» ce qui faisait penser à une mauvaise traduction qui comporte de nombreux risques lors de l'utilisation, car les deux produits se ressemblent énormément. J'ai donc apposé les avertissements sur le contenant à l'aide de photoshop et j'ai ensuite changé le lettrage. Le résultat final: un contenant sur lequel est écrit «Poivre noir» mais le nom d'un explosif lorsqu'il est traduit juste en dessous. Au premier coup d'oeil, ce n'est pas vraiment perceptible, mais lorsque l'on voit les avertissements sur le contenant, sa en devient presque humoristique, une certaine ironie envers celui qui en consommerait le produit.


Rupture de la vie


Sur internet, j'ai chercher la définition du mot Rupture qui est: '' Action par laquelle une chose est rompue; État d'une chose rompu'' Alors j'ai voulu faire la rupture de la vie en référence avec mon installation dans la passerelle avec Annie Deschênes de l'année passée qui était plusieurs chandelles sont exposées sur le sol et une noirceur artificiel a été créée.L’oeuvre est une représentation du couloir de la mort vécu par quelques personnes qui ont vu une lumière au bout d’un tunnel avant de reprendre conscience. L’oeuvre est basée sur cette expérience entre la vie et la mort. J'ai pris un rouleau de papier essuie-tout et pris la photo dans le tuyau pour réussir après quelques coups avec assez de luminosité. Ensuite, je l'es retravaillé sur photoshop avec la luminosité et le contraste.

Rupture de stock


Pour ce projet, le sujet qui m'était imposé était ''rupture''. J'ai donc cherché la définition de ce mot dans le dictionnaire. Le mot rupture est donc le fait de casser, de séparer quelque chose ou quelqu'un. J’ai tout de suite cherché une idée et je me suis arrêté sur le fait de photographier quelque chose dont il est impossible de faire la rupture pour par la suite faire ma propre rupture de la photo. J’ai utilisé la consommation comme thème puisque c'est quelque chose qui ne peut pas être brisé ou cassé et qui grossit de plus en plus. On a presque l'impression que la consommation prend des forces et l'emporte sur nous. Personne ne peut faire une rupture de ce phénomène. J'ai donc photographié une section de jouets dans un magasin. J'ai choisi cet endroit précis puisqu'on voit plusieurs dérivés de la même compagnie et ça démontre bien le thème de la consommation. On peut également faire allusion a une rupture de stock. L'image de la rupture de stock après la surconsommation des gens est facilement réalisable.

dimanche 28 février 2010

Mise en garde


Cette semaine le thème qui m'a été attribué était « RISQUE ». J'ai tout d'abord penser à des actions qui procuraient des blessures. Comme par exemple:

- jouer avec des explosifs

- jouer avec le feu

- conduire ivre

Qu'est ce qui risque d'être dangereux pour nous, qu'est ce qui pouvaient nous causer la mort. Je cherchais toujours ce qui nous mettaient en danger jusqu'en venir à dire que l'homme met les autres hommes en danger. J'ai vraiment réalisée que le pire prédateur s'était nous, l'animal qui règne au-dessus de la chaine alimentaire. C'est nous les égoïstes qui détruisons carrément l'équilibre de la nature pour du « CASH !!! ». Pour mon oeuvre je voulais faire un colis géant avec les pièces d'un homme à l'intérieur. Comme s'il y aurait un créateur et que son laboratoire serai la terre et qu'il le garnirait de toutes les bestioles qu'il veut. Mais, c'est un peut compliquer de faire quelque chose de pas cliché. J'ai opté pour faire un manuel d'instruction qui dit qu'est ce que l'homme risque de faire.

RISQUE DE ... Tué, mentir, jalousie, hypocrite et j'en passe pour dire que je me suis basé sur « les dix commandements » et « les sept péchés capitaux » pour écrire ma feuille des risques et j'ai déposé ma feuille sur une boite pour prendre la photo. Après j'ai mis un filtre qui vieillissait la photo et j'ai joué avec la couleur.

mardi 23 février 2010

Jeune Pousse !!

Pour le thème l'état des choses j'ai choisit de représenter l'environnement. J'ai utiliser une jeune Pousse dans une craque d'asphalte... Vu qu'on est présentement en hiver j'ai du la faire moi-même. Ceci-dit je voulais représenter le fait que même si nous, les êtres humains, nous bâtissons des maisons, des immeubles, des routes etc. la nature va toujours prendre le dessus sur nos actions. Une fois que notre passage est fait si nous ne l'entretenons pas La nature va continuer son chemin et tout détruire se que nous avons bâtis. J'ai mis la jeune pousse en couleur car c'est sur ça que je voulais attiré l'attention. J'ai mis le reste en noir et blanc car ce ne sont que des objets de passage il ne serons pas éternellement là, tant dis que la nature elle peut se renouvelé indéfiniment.

Faire le vide !



Pour mon projet statique sous le thème vide, j'ai traversé quelques difficultés. Au début, j'avais de la difficulté à trouver mon inspiration, ayant justement la tête trop pleine ! J'ai donc voulu exploiter le thème du syndrome de la page blanche. Lorsque nous nous interrogeons à propos d'un projet à remettre, il est fréquent que nous ayons a faire avec ce sentiment désagréable, celui de ne pas avoir d'idées, d'avoir la tête VIDE. Mais au fond, la problématique se résulte au fait que nous avons trop d'idées mais toutes aussi anodines les unes que les autres. C'est pourquoi j'ai voulu représenter cet état en gribouillant toutes sortes de choses disparates qui n'ont aucun lien entre elles et qui représentent les idées toutes mélangées que nous avons lorsque vient le temps de réfléchir sérieusement. J'ai utilisé l'esthétique croquis, le crayon plomb ainsi que l'encre et j'y ai ajouté quelques retouches photoshop.

«Saoul comme une botte»


Il existe un état à toute chose, quelle soit vivante ou non. Nous dirons : état des routes, état civil, état liquide, solide ou gazeux, état grippal, état des lieux, etc. Toute matière se décompose en un état, primaire, secondaire, physique, psychologique. Pour moi, l’état des choses c’est ce qui peut être caractérisé par un ou plusieurs éléments selon son contexte, ses émotions, sa constitution/et ou sa matière. Dans ce sens, j’ai construit une série de scènes photographiques narratives qui ont pour intention d’évoquer différents aspects liés au sens du terme : «Être dans un état second». L’état d’une personne qui n’a plus/ou pas la conscience de ce qu’elle fait. En fait, il est facile d’atteindre cet état avec ses substituts épicés de la vie. On peut voir de nombreux changements physiques, mais aussi psychologiques. Donc, je me suis questionné sur ces contrastes entre un état dit «normal»/état second. Avec la photographie, il m’était plus facile de représenté ses émotions et pouvoir créer une atmosphère photographique déstabilisante et réaliste.
Quoi de mieux que de se photographier soi-même dans un cet état, l’impact est immédiat.

L'état des shoes




Pour mon devoir de cette semaine nous avions le thème '' l'état des choses '' j'ai tout d'abord penser aux définitions conventionnel que nous donnons aux objets. Que c'est les humains qui déterminent les fonctions des objets comme une paire de chaussure. On dit par exemple: les chaussures (qui vont par paires) constituent un élément d'habillement dont le rôle est de protéger les pieds. Les définitions sont courtes mais, elles incluent tout type de chaussures. Mais aussi, on ne parle pas dans quels états elles sont, décolorées, peinturées, déchirées ou usées totalement. Je veux démontrer que ma paire de chaussure a eue plusieurs états.

J'ai décidé de jouer avec toutes les possibilités j'ai commencé par les peindre en aquarelle sur toile ma vieille paire de chaussure. Puis, j'ai photographié ma peinture et importé dans ''Photoshop'' pour le dupliquer en plusieurs photos. Pour ajouter de l'éclat dans ma mosaïque j'ai coloré les contours en m'inspirant de ''Andy Warhol''.

Voici ma vielle paire de chaussure en mosaïque

La matière...

Le vide et l'atome composent la matière et ces caractéristiques lui confèrent une nature intrinsèquement différente de l'étendue.

Ainsi, lorsque quelqu'un voit un verre, nous y voyons d'abord la matière...

C’est ce qui m'a inspiré pour cette œuvre...

Dans la vie de tous les jours nous ne voyons que la matière et nous ne voyons pas le vide... et même lorsque que nous pouvons le voir comme l'image si présent, nous ne le regardons pas car nous sommes attirés par les molécules, cette dernière étant la base de toutes choses... j'ai décidé de mettre cette image en couleur car les molécules sont différentes et elles doivent se lier pour pouvoir faire une certaine matière...

Fait avec Photoshop: outil pinceau

Goutte d'eau

Densité +/-

Luminosité/contraste

Déviation involotaire

Pour cette semaine, avec la thématique, l'état des choses, je me suis grandement demandé qu'est-ce que je pouvais bien faire avec cela. Vendredi passé, je me promenais en direction du Carrefour Alma, j'empruntais mon chemin habituel comme raccourci piétonnier. Quand soudain, une énorme pancarte se brandit devant moi pour m'interdire l'accès à la passerelle qui rejoint le centre-ville et le quartier naudville. Alors, j'ai été obligé de faire un énorme détour pour prendre un autre pont. Sur ce, j'ai fait mon œuvre statique avec cette petite mésaventure. Ainsi, j'ai pris en photo la façade comme un immense mure qui bloque la passerelle. Parce que c'est celle-ci qui fait le lien entre le problème du pont et du mien. J'ai voulu lui octroyer une esthétique sombre avec de grands contrastes un peu comme mon travail sur le paysage sonore. Ensuite, j'ai effacé l'affiche d'avertissement d'origine pour la reprendre et la modifier avec Photoshop ce qui donne un effet un peu comme le film «La Liste de Schindler ».

lundi 22 février 2010

Harden







Pour ce projet Statique dont la thématique était "L'état des choses", je me suis demander qu'est-ce que l'état des choses voulait dire pour moi. Je me suis imaginer l'état de plusieurs choses, liquides, solides, gazeuses etc... Je voulais prendre quelque chose et changer son état habituel pour créer un trouble dans une situation bien anodine. J'ai pris comme élément, un biscuit soda que l'on peut souvent voir accompagner à peu prêt n'importe laquelle soupe. Pour nous, un biscuit soda est vus comme "solide", mais sous un côté asser fragile, souvent des gens l'ajoute à leur soupe en l'émiettant dans cette dernière. Alors j'ai décidé de lui faire subir un petit changement pour que ce dernier, visuellement, change d'état. Il passe d'un état fragile à un état très solide et brut grâce à cet effet visuel de métal ou d'acier. En faite, j'ai simplement enrobé soigneusement ce biscuit d'une couche de papier d'alluminium et j'ai recréer une présentation classique d'une soupe servit et prete à être savourée. Le titre représente très bien mon oeuvre parceque le terme "harden" signifit "endurcir" en francais. Donc c'est comme si le biscuit soda avait changé de forme ou d'état pour éviter son malheureux sort, ou encore son destin.

Annihilation






LE VIDE…

Qu’est-ce que le vide? Plusieurs diront que le vide se défini comme l’absence de matière dans une zone d’espace. Cette definition s’avère en fait inexacte. Le vide n’est jamais totalement vide; le vide n’est pas le rien.
Le vide est un espace donné ou les particules environnantes sont peu nombreuses (densité particulaire très faible). Ainsi, la qualité du vide se mesure par la pression de l’air résiduelle.

Pour chaque particule de matière il existe son opposé, soit la particule d’anti-matière. Ces particules ‘’complémentaires’’ sont continuellement entrain de s’annuler mutuellement. Elles sont alors spontanément transformées en énergie sous forme de rayonnement, pour reprendre la célèbre citation ‘’rien ne se perd, rien ne se créer, tout se transforme’’. De ce fait, le vide absolu n’existe pas.

PROJET ARTISTIQUE
En fesant une étude plus approfondie du vide, j’ai donc appris qu’il existait particules matière et particules anti-matière, qui pouvaient s’annihiler pour produire une énergie qui correspond à la formule connue E=mc² (la masse est entièrement convertie en énergie).

C’est par ce principe scientifique que j’ai tenté d’illustrer le vide de manière originale et artistique. Letryptique est approprié car il permet d’illustrer les différentes étapes de ce principe scientifique. Dans le tryptique, deux molécules opposées (- et +) s’annulent pour finalement se transformer en énergie sous forme de rayonnement.


CHOIX DES COULEURS
J’ai choisi, dans ma composition, le rouge et le bleu non pas pour moi-même rappeler ou suggérer la populaire idée de contraste solidement encrée dans la conscience collective, mais simplement parce que c’est de cette manière que ces deux particules sont illustrées dans la présentation des différentes recherches scientifiques faites à ce sujet.


L’ŒUVRE DANS SA GLOBALITÉ
La création a été faite avec l’aide des logiciels Cinema 4D et Adobe Photoshop.
En globalité, l’œuvre est une représentation simple d’un fait scientifique dépassant l’imaginaire collectif et faisant une analyse de ce qu’est réellement ce que l’on surnomme communément le ‘’vide’’. À la surprise générale, le vide absolu n’existe pas et la perception collective du vide se retrouve alors changée.



LIENS

http://public.web.cern.ch/public/fr/science/Antimatter-fr.html

http://fr.wikipedia.org/wiki/Antimatière

www.cicpprecaution.com/Les%20Energies%20de%20demain2.doc



À moitié vide


Dans le projet vide, j'ai décidée de prendre l'indicateur du niveau de l'essence de mon auto pour démontrer qu'il serait bientôt vide et qu'il me faudrait que je le remplisse. Mais le vide n'est pas seulement le niveau de l'essence mais qu'il me faudra payer aussi le montant que mon auto va prendre en essence et malheureusement, ma carte de guichet est vide vue que je n'es pas d'argent dans mon compte. Et il me faut absolument le remplir sinon je ne pourrais plus me rendre du point A au point B.

Un vide impossible


Pour ce projet, j’ai décidé de prendre le mot vide à son état pur. J’ai photographié une feuille blanche qui n’avait absolument rien d’inscrit dessus. J’ai modifié celle-ci pour n’avoir seulement que la couleur blanche qui est souvent représentée comme étant synonyme de vide. J’ai ajouté le mot ‘’vide’’ au milieu pour défaire en quelque sorte le parfait de la chose puisque dans sa définition, le vide parfait n’existe pas. Je l’ai mis en très petit au centre puisque je voulais qu’il soit subtil, car lorsque nous utilisons le mot vide, nous croyons en fait que la chose est réellement vide alors qu’elle ne l’est pas. En d’autres mots, un vide ne peut pas être vide.

Déjeuner : Toasts au caramel

Le thème de mon projet étant: l'état des choses, j'ai décidé de poser un questionnement en lien avec celui-ci, ce questionnement étant: Un objet reste-t-il le même si on lui fait subir différentes transformations. Par exemple, si un objet est réduit en cendre, ou détruit en miettes, reste-t-il toujours le même voyant bien que tous les éléments le composant sont toujours présents? J'ai pris pour ce projet-ci des «toasts» que j'ai tartinées de caramel pour ensuite les bruler jusqu'à ce qu'on ne sache plus du tout quel est l'aliment qui se trouve dans la présentation. Les «toasts» sont donc complètement brûlées, mais on peut toujours dire que ce sont des «toasts» au caramel, car j'ai gardé tous les éléments qui les composaient. Donc si quelqu'un protesterait à la vue d'un tel déjeuner, dans un restaurant par exemple, la personne l'ayant servit pourrait-elle nier en disant que ce sont vraiment des «toast» comme il l'avait demander, mais dont il n'avait pas spécifié l'aspect. Côté pratique maintenant. J'ai brûlé les tranches de pain et le caramel à l'aide de gaz de poêle à fondue et d'une flamme, j'ajoutais fréquemment du gaz pour obtenir le résultat final. Ensuite, le résultat final étant contenue dans une assiette d'aluminium, je l'ai vidé dans l'assiette présenté ci-bas et j'ai finalement pris plusieurs prises de vue et dispositions.

Ça n'existe pas

Vide est mon thème imposé. J'ai alors recherché la signification du mot et j'ai appris que le vide n'existe même pas! Dans l'espace, on parle de vide profond mais le vide n'est jamais entièrement vide puisqu'il reste toujours quelques molécules par cm cube. Cette découverte m'a fascinée et je me suis ensuite questionnée qu'est ce que qui est vide? On peut parler d'un sac vide, des pots vides, revenir les mains vides, un regard vide etc... J'ai choisi 7 choses pouvant être dites ''vide'': le vide de l'espace, un tableau vide, une main vide, un regard vide, une tasse vide, un sac vide et une table vide.
Le résultat est intéressant selon moi, car on remarque que ces choses ne sont pas vides en réalité. La tasse a des essences de café imprégnées dans le fond, le sac est rempli de molécules d'air, la table a des graines, le tableau de liège a de la poussière entre ses composants.. Bref elles ne sont pas vides puisque l'absence de matière n'existe pas.

mardi 16 février 2010

Frustration matinale: DESKtruction


Il sagit d'une expérimentation en animation 3D, fait avec l'aide du logiciel Cinema 4D et Soundtrack Pro. La courte vidéo traite du déplaisir de se faire abruptement tirer d'un sommeil douillet, confortable et agréable par la sonnerie stridente et irritante d'un cadran. J'ai en fait rassemblé toute mes frustrations matinales quotidiennes dans ce vidéo à caractère humoristique. J'ai aussi tenté de recréer la réalité du mouvement des objets dans l'espace et de synchroniser son et image.

Leçon de gravité

Pour ce troisième projet, mon theme était Gravité. Dans mon video j’ai fait tomber plusieurs objets de formes différentes afin de démontrer que tout ce qui tombe est ramené vers le sol.Peux importe si quelque chose tombe, si on saute dans le vide, si on lance quelque chose dans les aires, tout est automatiquement ramené au sol.C'est ça la gravité. Ma vidéo est assé simple, alors j'ai ajouté quelque filtres sur final cut afin de lui donné un style plus vieux, car des choses qui tombe sur un fond blanc c'est long et plate à regarder.

«Bong bong»

«Bong Bong» from Marie-Michèle Simard on Vimeo.

Pour ce projet, je me suis lancé dans un concept très simple. Après quelques recherches sur le web, un site en particulier a retenue mon attention. Dans celui-ci, une phrase m’a sauté au yeux : «Dans l'espace deux objets s'attirent d'autant plus fortement qu'ils sont massifs et qu'ils sont proches l'un de l'autre.» J’ai donc médité sur cette phrase et j’en suis venue à cette idée. En remplaçant ces objets par deux ballons, j’ai tenté de représenter cette situation. Après une série d’expérimentation, j’ai exploré différentes façons de le rendre. Les deux ballons se fondent, se croisent, formant une sorte de rencontre. Ils s’attirent et se repoussent. Je trouvais intéressant de le présenter de cette façon, d’une manière abstraite et absorbante pour l’œil. Je me suis inspiré du principe des lampes à bulle, puisque je considère qu’elle représente bien ce phénomène. Les grosses bubulles gravitent dans un liquide, se frappent, s’attirent, et se repoussent.

Parasite à détruire

Le thème destruction m'a donné beaucoup de fil à retorde puisque la plupart de mes idées ou inspiration par rapport au sujet même étaient tous clichés. Je me suis un peu détaché du thème en allant vers la destruction d'une chose indésirable soit un parasite. L'idée m'évoquait le style des cartoon et les clips de Charlie Chaplin La vidéo créée au ralenti est modifiée à vitesse quadruple de sorte que les mouvements sont saccadés.

Néo pictural

Noirceur du temps


Pourquoi noirceur du temps? Et bien la réponse est dans le processus de création de l'oeuvre. Au début l'oeuvre était très discrète et devient de plus en plus imposante dû au temps et à la température. Cette oeuvre aurait pu être à ce stade plus vite, ou encore plus lentement celons de la température. Nous pouvons dire que cette oeuvre sera en continuelle changement par apport au temps et ne se terminera que lorsqu'elle disparaîtra.

Oeuvre figé par une photo tout en étant en continuelle changement en réalité.

Étant mise sur internet, celle-ci perd son attachement par apport à son territoire. Elle peut se voir de partout...

Matériel : peinture, neige, temps, appareil photo


Expérience No 1 - Étude de l'autonomie d'une masse

ATTENTION ! Lire le texte avant de visionner le video.


Concept

Pour cette semaine je me suis demandé, avec le thème gravité, quel objet pouvait bien symboliser la gravité et qu'est-ce que cela pouvait bien dévoiler. De plus, quel était l'effet d'être attiré par la rotation de la planète. Sur ce, j'ai pensé filmer un objet, qui chute au ralenti, et de la présenter comme cela, mais ceci était très simpliste pour ce travail à mon avis. Alors, après quelques réflexions j'en suis venu à m'interroger sur cet obstacle et en venir à un questionnement fondamental. Et si justement, il n'avait pas d'objet valable pour créer cet effet, et que la seule option serai la caméra vidéo elle-même dans cette théorie. Alors, cette dernière sera la protagoniste de sa propre destinée dans un temps donné en action. D'ailleurs, qu'est-ce que ceci pourrait bien nous montrer? Rien, absolument rien, parce que les mouvements seraient les plus importants dans cette opération et non l'image projetée en soi.

Définition

Ceci n'est pas une œuvre, mais bel et bien une expérimentation scientifique présentée de façon artistique. L'Expérimentation No 1 est l'étude de l'autonomie d'une masse abandonnée à elle-même dont elle transmet les mouvements qu'elle veut bien nous exposer par les contraintes. Par exemple, son poids (force gravitationnelle) et la force du vent qui génèrent des rotations de cette masse dans l'air. Ainsi, ces éléments divulguent une sorte d'image d'abstraction involontaire de sa trajectoire.


Réalisation

Pour l’accomplissement de la vidéo, j'ai commencé par concevoir une membrane protectrice pour mon appareil photo dans deux blocs de mousse rigide. Ensuite, l'épreuve était de trouver un endroit parfait pour l'Expérimentation No 1 avec une certaine hauteur pour la chute libre. Après l'expérience, je me suis rendu compte que le vidéo de préparation était lui aussi susceptible à la théorie développée plus haut. Alors, j'ai pris la décision de garder cette parti intact, mais en luis octroyant une vitesse plus rapide dans le but de rester avec l'idée de temps désaxé. Comme dans mon œuvre précédente, j'ai mis l'image en noir et blanc pour enlever un certain regard sur les images qui déroule devant nos yeux. Ceci est long, brut, et sans aucune esthétique valable, car cela est sa pure réalité.


Expérience No 1 - Étude de l'autonomie d'une masse (art video) from blistex on Vimeo.

lundi 15 février 2010

Jumping-Jack anti gravitaire

Pour mon projet de type mouvement et tématisé du mot "gravité", je me suis posé beaucoup de questions sur ce phénomène très pertinent. J'ai pris concience que tout objets, tout êtres, sont attirés involontairement vers le sol; vers le centre de la terre. La gravité provoque une résistance sur tout, alors mes esprits se sont tournées vers l'activité physique, car c'est cette résistance qui vien créer un obstacle losrque par exemple nous nous entrainons. Donc, j'ai pensé à un petit exercice classique et simple que le "Jumping-Jack". J'ai créé un vidéo me présentant, en train de reproduire les sauts Jumping-Jack" sur le sol. La gravité n'avait plus vraiment d'effet sur le mouvement pratiqué, mais une autre forme de résistance entrait en compte, et c'était la surface elle même ou je performais. La perception de ce mouvement change beaucoup seulement pas le point de vue d'où nous le voyons.

chute libre en boite

Pourquoi j'ai choisi de faire une animation?

Les petits projets ont été mis au point pour réfléchir sur notre processus de création (réflexion) et d'expérimenté des méthodes de projection de nos idées (le visuel). Pour ce projet j'ai essayé une animation en « photoshop » , et « cinéma 4D » dans « final cut ». J'ai dessiné une petite femme fictive et je l'ai tordu en dégradation... J'ai voulu expérimenté une forme d'Animation en dessin ''basic'' épuré en couleur dans un ascenseur.

Mes intentions

J'ai commencé à me questionner sur quels effets néfastes la force de la gravité de la terre avait sur moi. J'ai pensé au déplacement en voiture, s'il ont n'aurai pas de force de gravité je pourrais flotter d'un endroit à l'autre sans toujours penser aux moyens de transports. Je voulais démontrer que sans système anti-gravité, une des façons de vivre sans apesanteur c'est d'être en chute libre. J'ai trouvé un article de « l'agence spatiale canadienne » qui m'a beaucoup inspiré et informé pour mon travail. Dans cet article il nous explique pourquoi on a l'impression que les astronaute flotte! Ils disent «L'astronaute est en chute libre quand il se retrouve en orbite autour de la Terre. Il flotte dans le vaisseau spatial, car il tombe en même temps que celui-ci.Le phénomène de flottaison causée par la chute libre est envisageable aussi sur la Terre. Prenons l'exemple d'une personne dans un ascenseur. Subitement cet ascenseur qui était au 30e étage se détache et tombe. La personne dans l'ascenseur tombe à la même vitesse que la machine. Elle flotte alors dans l'ascenseur.» C'est pourquoi le choix du personnage dans un ascenseur.

Mon projet a commencé à se concrétisé à la dernière minute parce que je croyais toujours que j'allais trouver quelque chose de plus esthétique avec un processus de création plus intéressant, que mes idées précédentes. En cour de route j'ai changé trois ou quatre fois mon idée ce qui à retardé mon travail final.
Lors d'autre recherche j'ai appris que la terre avait la force d'attraction la plus considérable des planètes. Le soleil n'est pas une planète.

Lors d'autre recherche j'ai appris que la terre avait la force d'attraction la plus considérable des planètes. Le soleil n'est pas une planète.

Voici ce que ça donne en 7:30 ou 8 heures de travaille.


Sans attraction

Pour ce projet, j'ai encore opté pour quelque chose de visuellement intéressant, un genre de trompe l'oeil. Ce qu'on peut voir c'est une main qui semble jouer avec des objets du quotidiens, tout d'abord avec la balle, ensuite un paquet de serviettes en papiers et pour terminer un linge à vaisselle. Pour créer cet effet de gravité non existante, j'ai tout simplement disposé ma main de manière à ce qu'inversée, elle semble dans une position naturelle pour que l'on ne remarque pas d'un premier coup d'oeil l'effet. J'ai disposé mes objets sur un fond blanc qui est en fait une table renversée. Lors du montage, j'ai trouvé intéressant de donner un effet agé au vidéo, de sorte à ce que le rendu ressemble à une découverte qu'aurait fait quelqu'un il y a plusieurs dizaines d'années, mais j'ai fais ressortir les couleurs principales par question d'esthétique.

Dsetucrtoni


Cette semaine, le thème qui m'était imposé était 'destruction'. J'ai alors choisi de démontrer ce thème d'une manière plus subtile. J'ai décidé de montrer que nous détruisons, en quelque sorte, plein d'objets qui nous passent sous la main, mais sans vraiment se rendre compte que ceux-ci subissaient une destruction. J'ai filmé 4 objets du quotidien dans leur fonction habituelle, sous un fond noir, et j'ai effectué l'action que l'on fait habituellement avec chacun de ses objets. L'aspect premier de ceux-ci est alors détruit mais l'objet en tant que tel n'a pas subi une destruction telle que l'on connait. On prend alors conscience de la destruction que l'on fait a chaque jour sur des objets qui nous sont utiles.

Psychologique

Dans mon projet de destruction, je ne voulais pas détruire un objet mais j'ai penser qu'avec seulement des paroles, on pouvait faire une destruction d'une personne en n'annoncent seulement une mauvaise nouvelle ou bien si on dit des insultes à quelqu'un. Dans mon vidéo, on me voit seulement les yeux qui sont vide et détruit par ce que mon amie me dit. Mais je ne voulais pas qu'on attende ce qu'elle dit pour seulement ce basé sur l'image même si on comprends pas beaucoup l'émotion et le sujet de la destruction. À travers mes lunettes, on voit l'ombre de mon amie qui me parle.

Tu te trouves DESS ??

auto-destruction

Pour le projet destruction, je me suis basée sur le fait que nous devons détruire afin de pouvoir construire.... après plusieurs idées, la simplicité me semblait la meilleur solution... dans la vidéo, la colle doit être transformée pour pouvoir coller (Celle-ci étant une forme de destruction) tout comme le bois doit être détruit pour en faire un meuble quelquonque... la destruction est une chaîne, il y a un processus de destruction de matériel afin de pouvoir construire la colle et il y a un processus afin de le dédruir afin de créer autre chose...

matériel: colle, fusil à coller, feuille de papier, caméra

modifié dans final cut

mardi 9 février 2010

Saint-Collant



Pour ce travail statique, je me suis gâtée un peu et je me suis salie les mains un peu plutôt que de jouer après des boutons ! 
J'ai basée ma recherche cette fois-ci non pas avec le sens du mot collant mais bien sur la façon de l'utiliser. Il ne fut pas bien bien difficile de trouver autour de moi une multitude de trucs collants qui pouvaient être utilisés comme médium dans mon processus de création. 
Mon travail s'est donc fait sur une feuille de papier ordinaire avec du beurre d'amande en guise de peinture, des couteaux et des essuie-tout en guise de pinceaux ! Je suis vraiment sortie du cadre traditionnel de création pour représenter cette icône religieuse. 
Techniquement parlant, j'ai utilisé l'huile naturelle du beurre d'amande pour réaliser ''L'empreinte'' du visage de Jésus, les ombrages.
Le côté conceptuel du choix de personnalité est bien simple. J'ai voulu choisir un aspect de moi, qui me COLLAIT à la peau. Selon moi, nos valeurs et nos principes moraux sont ce qui nous COLLE le plus, ce que l'on garde toute notre vie. Donc, pour ma part la religion est une des
 deux valeurs les plus importantes et c'est pour cela que mon choix s'est arrêté sur Jésus Christ! 
Il est à noter que je me suis inspirée d'un artiste contemporain que j'ai vu dans le cadre de mon premier cours d'histoire de l'art au Cégep de Jonquière, cependant, même après plusieurs recherches sur Internet, je n'ai pas réussi à retrouver son nom... 

«Le Dep à bonbon»


Thème: Mesure
Pour ce deuxième projet, je me suis donné le plaisir d’utiliser un médium avec lequel je suis habile. Je me suis donc lancé en photographie. Selon moi, c’est une forme d’art indestructible, sensible et authentique. J’ai feuilleté de nombreux livres sur la photographie et un artiste en particulier a attiré mon attention. Jeff Wall est un photographe canadien, il est aussi critique d’art et concentre ses œuvres sur des tableaux photographiques de la vie moderne. Après cette merveilleuse découverte, j’ai pu trouver un sens au mot mesure. En fait, cette photographie encadrée d’un caisson lumineux symbolise «la mesure du réel». Cette scène de la vie quotidienne, un homme attendant au comptoir d’un dépanneur, représente bien cette normalité, ce réalisme du décors qui devient parfois presque inquiétant. Sans savoir vraiment qu’est-ce qu’il veut, qu’est-ce qu’il regarde? De même que le perfectionnisme de cette composition donne à tous les éléments un aspect figé. On se transporte donc dans un univers plus réel que réel, ce qui agite l’œil de cette esthétique troublante. En intensifiant le réel, je viens à me demander à quelle degré ou mesure elle se définit. À quel moment pouvons nous dire que ceci ou cela représente parfaitement le réel?
Pour la conception de cette photo, je suis allé au «dèp à bonbon» après une brève obstination avec la Madame, j’ai pu prendre quelques clichés de son dépanneur. Ensuite, avec la plus grande des joies, j’ai eu un ami ébéniste qui m’a confectionné ce magnifique caisson. La luminescence donne un aspect encore plus réel et nous lance même vers un monde virtuel.

Pour ceux et celles qui aiment la photographie, je vous invite à aller voir les œuvres de Jeff Wall.

lait Canadien de Qualité la bonne mesure !



Le thermographe

C'est une machine qui a été créer pour remplir les exigences du «lait Canadien de Qualité». C'est totalement une mesure de sécurité qui assure la salubrité du lait chez les producteurs du Québec. Le thermographe calcule constamment la température, les séquences de l'agitateur et des traces de substances indésirables tel que le savon dans le lait. Bref, cette machine détecte toutes situations anormaux.

J'ai voulu démontrer le contraste des producteurs avec ses consommateurs. C'est pour cette raison que ma photo est séparé en deux: illustré en dessin et en photos. Je pense toujours à la femme qui à trouvé une tarentule vivante dans ses raisins il y a quelques années. Le thermographe est une façons d'empêcher des situations semblables dans le lait. C'est leur moyen de garder une bonne conservation du produit. La plupart des consommateurs ignorent en grande parti les mesure qui sont mise en place par la «Fédération des producteurs de lait du Québec» pour les protéger. Mon illustration est en parti en dessin pour représenté la réglementation qui sera bientôt en vigueur. Il est disponible et bientôt obligatoire à tous les producteurs.

°C

Mon theme pour ce projet était mesure. J,ai fait plusieurs recherches sur internet a propos du mot mesure et j'ai trouver un site ou il énumérait plusieurs type de mesure dont, celle de la température. Cependant je voulait la représenter de façon original, pas comme un thermomètre ou peut importe. Puis j'ai penser au piton de four entouré de degrés °C °F. Il indique les degrés pareil Qu'un thermomètre mais sous une autre forme. Je trouvais que c'était une façon très original de représenter les degrés de chaleurs.

L'usine à collants


Pour ce projet, je me suis questionner sur tous les sens que peut prendre le mot ''collant''. J'ai finalement préféré exploiter le viseul du bas de nylon, aussi communément appelés ''bas collants''. Je me suis interrogé sur leur origine et la raison de leur grande popularité auprès des femmes. La raison de l'invention du bas de nylon est purement esthétique; ils font des jambes parfaites, rendant celles qui les portent encore plus désirables au sexe opposé. Comme pour beaucoup d'autres produits mis en marché, l'industrie bénéficie directement de l'aspiration à la beauté de la communauté féminine. À première vue, cela semble normal et commun, mais il sagit selon moi d'une aberration en soi. Je me suis inspiré des collages de l'artiste Stas Volovik.
Voici un petit lien d'un site sur l'histoire du bas collant: http://www.bas-et-collants.com/archives/421/lhistoire-des-bas-jarretelles#more-421

lundi 8 février 2010

Mesure illégale





Pour mon projet dont le thème était “Mesure” et présenté sous forme statique, je voulais m’orienter vers le côté nourriture. En faite, lors de la confection d’un plat que l’on affectionne particulièrement ou pour une recette tellement suculente qu’elle en devient presque une drogue, nous employons souvent des mesures bien précises pour la quantité des alliments en question. Pour ma part, j’ai réalisé ce projet pour détourné en quelque sorte cette “tradition” à l’aide d’un alliment nommé “quick”, ou bien en d’autre mots: Cacao bon marché. J’ai voulu créer un effet d’abus sur l’utilisation de ce produit délicieux. Cet ensemble de sept photos montre l’évolution de la quantité fénoménale du cacao Nestle dans cette tasse de 250ml. J’ai créer un fond particulièrement blanc et lumineux pour augmenté le contraste entre la matière et ce dernier. Ce travail est pure, simple, et estétiquement alléchant, non seulement pour votre oeil, mais pour vos papilles!

Ultime grandeur pour satisfaction


État d'esprit

Il y a quelques années auparavant, je suis tombé de façon anodine sur un sondage qui demandait aux femmes de différents âges qu'elle était la grandeur parfaite d'un pénis au travail pour une satisfaction parfaite. Sûr ce, j'ai trouvé la question absolument saugrenue, mais celle-ci ma perturbé la tête à un tel point que j'ai fini à m'auto mesurée. Alors, avait-il réellement une longueur parfaite pour ce plaisir délectable? Où, était-ce une machination féminine vers la race masculine? Cela m'obsédait au plus haut lieu!

Conception

Pour le projet de cette semaine, mesure, je voulais reprendre cette situation embarrassante de ma jeunesse et de la mettre esthétiquement en valeur. Pour ce fait, J'ai choisi de prendre un ruban à mesurer, qui est certes un cliché, mais cela illustre très bien la chose. Ainsi, nous pouvons percevoir sur la photo une vue de haut et un cadre panoramique vertical pour bien symboliser la longueur. De plus, la photo elle-même est en noir et blanc pour ne pas mettre l'emphase sur l'objet. Par la suite, à l'aide de Photoshop, j'ai mis le ruban de 8 pouces en rose pour lui donner un côté alléchant comme un gros bonbon et pour lui octroyer une esthétique unique et visuellement accrocheuse.

À quoi sert le Mur-écran de Fermont?


Pour le projet qui a comme thème le mot collant, j’ai joué avec ce mot et chercher plusieurs moyen de vous l’illustrer de manière statique. Voici le résultat! J’ai décidé de ''poser une colle'' qui signifie : poser une question à laquelle il est difficile de répondre et d’illustrer de manière très simple l’action de poser une colle. J’ai alors utilisé un bâton de colle mis sur un fond blanc pour bien mettre l’accent sur celui-ci. Ensuite j'ai modifié cette photo dans photoshop. Pour le titre, j’ai simplement cherché une question qui semble impossible de répondre sans faire de recherches sur le sujet. Elle n’a aucun lien avec la photo et c’est le résultat que je voulais donner! De plus cette question (qui est le titre) peut changer à n'importe lequel moment puisqu'elle ne colle pas du tout à l'image. Tout est dans le titre !!

Ajusté sur mon corps


Mon thème était Collant. Je savais pas trop quoi faire comme idée mais en lisant la définition dans Le Robert, il était marqué et je cite : Qui s'applique exactement sur une partie du corps ---> ajuste, moulant, serré comme exemple une robe collante. Alors, j'ai voulue prendre un gilet qui était serré sur mon corps et prendre simplement une photo. J'ai jouer un peu avec le contraste et la luminosité dans Adobe Photoshop.

Prenons-nous les bonnes mesures ?

Le sujet qui m'a été atribué pour ce projet est: mesure. Après plusieurs idées, une revenait sans cesse: la vue de quelque chose ne se retrouvant habituellement pas dans un objet servant a quantifier. Après quelques jours, j'ai entendu à la radio que le gouvernement voulait augmenter le nombre de jour d'école à six par semaine et c'est à ce moment que j'ai pensé à cette phrase: Prenons-nous les bonnes mesures ? J'ai donc décidé d'associer mon idée de projet directement à cette phrase. J'ai placé sur fond blanc une tasse à mesurer énorme contenant les pieds d'une personne à l'intérieur. J'ai décidé de prendre des pieds et une tasse à mesurer pour la raison suivante: ils sont tous deux des choses que l'on attribue à une certaine unité de mesure. Ces deux choses, n'ayant aucun lien entre eux, apportent le second sens du mot mesure: des sortes de solutions à un certain problème en quelque sorte. Donc en ayant une tasse à mesurer quantifiant des pieds, on peut bel et bien douter de la précision ou de la méthode utilisée, ce qui nous illustre très bien la question du titre.

Faites peau neuve!























Mon thème est Collant et je suis partie d'un des sens du mot, soit bas nylon. Le principe de bas nylon est de recouvrir les jambes, il cache vergetures ou taches. Bref, il agit comme une deuxième peau. J'ai donc chercher à reproduire cette deuxième peau mais sur le visage puis que les femmes se maquillent la plupart du temps ce niveau du corps.
Je me suis également inspirée du Junya Watanabe dont la tête est enveloppée d'un espèce de collant.

une réputation qui colle à la peau


pour le thème collant, j'ai décidé d'utilisé la photographie en triptyque. Le tout ne donnaient pas le même effet en couleur donc j'ai opté pour le noir et blanc qui met en évidence les étiquettes... J'ai choisi le nombril et l'oreille car je trouvait intéressant que les étiquettes y soit accroché, de plus les mot que j'ai choisi leur donne un sens... pour la main, et bien j'y ai été dans le même sens... Le fond est noir, pour donner plus d'importance à l'image... Les image son séparé en trois partie mais elle se continu les une dans les autres car elles son lié par le même sujet.

le ventre et le mot Handicap me faisait pensé aux femmes qui ne peuvent avoir d'enfant et qui ne pourrons jamais en avoir...

l'oreille et le mot dépression me faisait penser au fait que ces personne ce dise et s'imagine beaucoup de chose, ces personne se font beaucoup jugé...

la main et le mot drogue car c'est avec celle si que l'on prend n'importe quoi (pilule, seringue, médicament), qu'elles soien bonne ou non pour nous... quel passe n'importe ou ( par la bouche les veines ou le nez) il faut les prendre dans nos mains avant... j'ai utilisé:
dans photoshop

luminosité/contraste
outil doit, netteté, goutte d'eau
outil densité + -
et les filtres et texte

je me suis inspiré des étiquettes que l'on met à l'extrémité du corps soit l'orteil...




mardi 2 février 2010

Le Cornet Volant


Dans cet extrait audio-visuel, l'aspect du temps est abordé par les différentes vitesses du mouvement. Le jaune à l'état brut, l'étude du mouvement et de fait, de notre perception du temps. On peut y entendre la musique (extrait de vieux vinyles poussiéreux) du Cornet Volant, un marchand ambulant de crème glacée qui était très populaire au Saguenay vers les années 80. Les plus vieux éprouveront la nostalgie au souvenir du Cornet Volant. C'est pourquoi les scènes sont exposées à l'inverse dans la deuxième moitié du vidéo.L'esthétique du vidéo est à l'image de cette époque.

«Trop de bleu»

Pour ce projet, j’ai décidé littéralement de me jeter dans une zone d’inconfort. J’ai donc fait des recherches sur le mot bleu, son origine et ses symboles. J’ai ensuite retenue quelques phrases clés, qui m’ont permises d’approfondir le sens du mot bleu.
J’aime bien l’aspect technique «image par image», cette forme qui peut se définir de manière très fluide, mais aussi de manière saccadée. C’est en cherchant sur le sujet que j’ai retenue mon attention sur une vidéo que j’ai visionnée sur Youtube. «Monty Python’s Flying Circus», est une série télévisée britannique en 45 minutes sur 30 épisodes, des parodies d’émissions et des sketches. Elle dénonce les travers de la société britannique et s'attaque avec un humour non-sens au monde politique, au sexe, à la religion, à l'armée etc… C’est sur cette esthétique crûe et surréaliste que j’ai eu envie de me lancer. De même que, le côté contradictoire et dénonciateur m’a plutôt plu.

Mon œuvre est donc une animation image par image dénonçant par le bleu la consommation. La consommation vestimentaire, celles qui dépensent tout leur argent pour avoir à chaque semaine un nouveau morceau. Le bleu étant un symbole de divinité est représenté par la femme, une femme mannequin, trop maigre à mon goût. Elle est symbole d’un corps parfait, selon cette fâcheuse industrie. Les vêtements sont la consommation propre, et les jeans bleus sont eux-mêmes un signe de dénonciation, de révolte et de revendication. Ils ne démodent jamais et s’adaptent à tous les âges. Un bon exemple serait la génération Hippie. Donc, sous l’influence de la consommation, les adolescentes de ce monde dépensent beaucoup trop d’argent pour se vêtir quand ce n’est pas nécessaire d’en acheter autant. De même qu’elles s’affichent à un modèle féminin inélégant et trop mince.
La trame sonore est une expérimentation d’objets divers, tombant sur une table et se cognant entre eux. Le fait qu’elle soit bruyante et rythmé, se marie avec le rythme des vêtements ainsi qu’à la domination de la consommation.

«Trop de bleu from Marie-Michèle Simard on Vimeo.

Jaune Pâte périmée

L'animation en volume c'est l'animation image par image et c'est la base que j'ai pris pour faire ce petit film composé de 180 photos choisies sur 321 photos. Une des catégories de l'animation en volume est l'animation de pâte à modeler. Cela faisait un certain temps que je voulais expérimenter cette technique si connue des séries ou films d'animation pour enfants. Qui n'a jamais vu cette technique sur écran? Le résultat est douteux puisque le pâte semble être en vie du fait qu'elle bouge toute seule.

Le thème jaune revient sur des thèmes basiques tels que la couleur de la pâte à modeler et le jaune de l'arbre ou du sable autour du volcan retrouvable sur des dessins d'enfants typiques. Ainsi, le thème de l'enfance est en lien avec cette technique de l'animation de pâte à modeler qui beaucoup servit pour des émissions enfantines.

Peur Bleue



Voici Mon «Projet Bleu» . Après Avoir fait plusieurs recherches à propos du mot Bleu, rien ne m’inspirait vraiment puis, deux mots me sont venus à l’esprit : Peur Bleue, qui signifie avoir très peur.

Nous avons tous nos craintes et nos phobies aussi banales qu’elles peuvent êtres. C’est une émotion très présent en chacun de nous et nous ne pouvons l’évité. J’ai donc fait une courte animation à ce sujet. Malgré la négativité de ce mot, mon animation est plutôt du genre comique, car personne n’aime vraiment ça avoir peur. ;)